Dans l’émission « Un cactus à l’entracte » sur Radio Radio +, des spectateurs avertis déballent encore une fois, sans détour et en toute impudeur, tout ce que vous avez toujours voulu savoir (sans jamais oser le demander) sur les spectacles qui ont fait l’événement à Toulouse au cours du mois de mars !
« Quasi Niente » © Chiara Ernandes
Au programme ces jours-ci du numéro 28 de « Un Cactus à l’entracte »:
> Pourquoi les représentations de « Un homme qui dort », de Georges Perec, auraient-elles pu ne jamais se terminer au Théâtre de la Cité, dans la mise en scène de Bruno Geslin ?
> Qu’est-ce que Daria Deflorian et Antonio Tagliarini ont trouvé dans les archives de Michelangelo Antonioni pour créer « Quasi niente » à l’affiche au Théâtre Garonne ?
> Pourquoi la mise en scène de « The End of Reality », de Richard Maxwell, par Marie-José Malis présentée au Théâtre Garonne, a-t-elle provoqué chez certains de frénétiques envies de reproduction ?
> La soupe populaire servie à l’issue du « Faux procès/Vrai débat » organisé au Théâtre de la Cité par des organisations syndicales et des Gilets jaunes avait elle un arrière goût de suppositoire ?
Avec les metteurs en scène Jean Lebeau et Patrick Séraudie, nous répondons à (presque) toutes ces questions surnaturelles au cours du huitième épisode de cette troisième saison radiophonique sur Radio Radio + dimanche à 11h00 (106.8 fm / Toulouse) et en ligne:
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