Deux concerts dominicaux vont célébrer les fêtes de fin d’année. La Compagnie Opér’Azul et l’Ensemble Stella d’Oriente invitent tous les publics à assister à ces deux concerts, le dimanche 21 décembre à 17h en l’église des Minimes de Toulouse et le dimanche 28 décembre à 17h en l’église de L’Union (31240).
Les artistes du concert du 21 décembre : Catalina Skinner, Pierre-Yves Binard, André Da Silva et Carlos Betancourt – Photo Cie.operazul
Fondée par la mezzo-soprano colombienne Catalina Skinner et le baryton français Pierre-Yves Binard, artistes lyriques aux univers riches et éclectiques, la compagnie Opér’Azul propose des spectacles et programmes musicaux mettant à l’honneur l’opéra, la musique de chambre, les musiques anciennes ou encore les musiques populaires méditerranéennes et latino-américaines. Nourris de cultures musicales très diverses, ils proposent des ponts entre les musiques classiques dites « savantes » et les musiques de traditions orales.
Le concert du dimanche 21 décembre à 17h en l’église des Minimes de Toulouse
Catalina Skinner & Azul Combo investissent les musiques populaires et sacrées d’Amérique latine, au cours d’un voyage musical entre ferveur sacrée et traditions populaires. Dans l’écrin acoustique de l’église des Minimes, Catalina & Azul Combo interprèteront des extraits de la célèbre Misa Criolla et de Navidad Nuestra d’Ariel Ramirez, œuvres emblématiques mêlant spiritualité et rythmes argentins.
Le programme explore également la richesse du répertoire latino-américain avec des chants traditionnels des Andes, de Colombie et du Mexique, ainsi que des mélodies de Chabuca Granda, Baden Powell et Astor Piazzolla.
Le chanteurs et musiciens du concert du 28 décembre
Catalina Skinner (mezzo-soprano) et Pierre-Yves Binard (baryton et percussions) seront accompagnés d’André Da Silva à la guitare à 7 cordes et de Carlos Betancourt à la contrebasse, pour une interprétation authentique et chaleureuse de ces musiques vibrantes.
Un concert idéal pour célébrer les fêtes de fin d’année aux couleurs de l’Amérique latine.
Serge Chauzy
une chronique de ClassicToulouse
