Après le vif enthousiasme suscité l’an passé, le prestigieux Gala de l’Orchestre du philharmonique de Berlin, sera à nouveau diffusé en direct et en exclusivité dans les 38 cinémas CGR. Terminez l’année de façon spectaculaire en passant l’après-midi du réveillon dans votre cinéma CGR où sera projeté en direct le « GALA FROM BERLIN », dans des qualités de confort et de son exceptionnelles et à un tarif abordable.
Le lundi 31 décembre à 17h30, plus de 7 000 spectateurs pourront assister à ce spectacle, majestueux et unique.
Cette année l’Orchestre du philharmonique de Berlin, dirigé par Sir Simon Rattle, a invité une cantatrice mezzo-soprano et l’une des interprètes lyriques contemporaines les plus connues dans le domaine de la musique classique : la sublime Cécilia Bartoli. Au programme de la soirée, des oeuvres riches et variées, avec une petite prédominance pour les artistes francophones : Camille Saint-Saëns et sa Danse Macabre, Maurice Ravel avec Daphnis et Chloé…les plus grands classiques sont au rendez-vous pour un concert inoubliable.
LE PHILHARMONIQUE DE BERLIN
L’Orchestre du philharmonique de Berlin est le plus célèbre de tous les orchestres du monde auprès du grand public. Il fut fondé en 1882. Dès lors, de grands chefs d’orchestre s’y sont succédés : Hans von Bülow, Arthur Nikisch, Wilhelm Furtwängler, Leo Borchard, Sergiu Celibidache, Herbert von Karajan,Claudio Abbado. Sir Simon Rattle a pris la conduite de l’Orchestre philharmonique de Berlin en 1999.
Il est devenu son premier chef d’orchestre et directeur artistique en septembre 2002. En plus de ses concerts donnés à Berlin, l’Orchestre part très souvent à la rencontre de son public dans le monde entier. Les 129 musiciens aux origines multiculturelles ont reçu beaucoup de récompenses comme le Brit Award Classique, plusieurs Grammy Awards, ECHO Klassic, etc.
CECILIA BARTOLI
Depuis plus de deux décennies, Cecilia Bartoli est l’une des artistes qui comptent le plus dans le domaine de la musique classique. Ses rôles à l’opéra, ses programmes de concerts et ses projets d’enregistrements sont très attendus. Cecilia Bartoli rapproche la musique classique du cœur de millions de personnes dans le monde entier. De plus, elle est fière du fait que grâce à leur popularité, ses projets invitent à redécouvrir des compositeurs négligés et un répertoire oublié.
Il n’est pas étonnant que Herbert von Karajan, Daniel Barenboim et Nikolaus Harnoncourt aient été les premiers chefs d’orchestre avec lesquels Cecilia Bartoli ait travaillé. Ils ont très tôt remarqué son talent lorsqu’elle venait à peine d’achever ses études de chant dans sa ville natale de Rome. Depuis lors, de nombreux autres chefs, pianistes et orchestres très renommés ont régulièrement été ses partenaires. Au cours de ces dernières années, elle a commencé à concentrer ses activités sur des projets avec des orchestres d’instruments anciens (l’Akademie für Alte Musik, Les Arts Florissants, le Concentus Musicus Wien (…)). Les projets avec orchestre dont Cecilia Bartoli assume l’entière responsabilité artistique ont abouti à des programmes développés et interprétés en parallèle avec l’Orchestre Philharmonique de Vienne.
Cecilia Bartoli chante régulièrement dans les plus importantes salles de concert du monde. En septembre 2010, elle est revenue au Theater an der Wien dans Semele de Haendel (avec William Christie) et en janvier 2011 à Zurich pour une nouvelle production du Comte Ory.
Récemment, Cecilia Bartoli s’est consacrée à la musique du début du XIXe siècle – l’ère du romantisme et du bel canto italiens – (hommage à Maria Malibran). La révolution romantique a été portée plus loin, faisant sensation au Konzerthaus de Dortmund en juin 2010 avec une interprétation de Norma sur des bases historiques. Cecilia Bartoli dans le rôle-titre avait pour partenaires Thomas Hengelbrock, qui dirigeait l’Ensemble Balthasar-Neumann sur instruments anciens, et une distribution qui reflétait les voix originales de l’époque de Bellini lui-même. L’essentiel de la saison 2009-2010 était cependant consacré à un passionnant voyage vers la Naples du XVIIIe siècle et de ses castrats-étoiles. Des concerts présentant un répertoire de castrat inconnu jusqu’à maintenant ont été donnés dans toutes les grandes capitales d’Europe, et Toulouse. Autre événement-phare, la série de versions de concert de Giulio Cesare de Haendel dirigées par William Christie à la Salle Pleyel (Paris) avec Andreas Scholl et Philippe Jaroussky.