Je vais reprendre point par point, mes quelques lignes concernant la présentation de la saison passée, tout en évoquant les grands moments de l’ère Frédéric Chambert, parti sous d’autres cieux pour diriger une autre “maison“, un autre Théâtre, nous laissant avec cette nouvelle affiche pour cette saison qu’il a entièrement montée et, sûrement, avec des éléments concernant la suivante encore. On sait que l’anticipation est de règle dans ce type de programmation, d’où les multiples difficultés de la tâche. Le relais est assuré par son dramaturge, Jean-Jacques Groleau, présent dans la maison depuis trois saisons.
Agrégé de lettre classiques, formé au piano et au chant, Jean-Jacques Groleau a depuis quinze ans participé à l’administration du secteur artistique dans plusieurs maisons d’opéra (en particulier Strasbourg, mais aussi Montpellier) et publié de nombreux textes, soit pour des maisons d’opéra (Opéra de Paris, Théâtre du Châtelet) soit pour des éditeurs comme Robert Laffont ou Actes Sud. Une biographie d’Horowitz devrait paraître bientôt.
Frédéric Chambert, alors Directeur artistique du lieu l’affirmait en introduction de la brochure nous informant sur la nouvelle saison 2015/16. Ce qui compte en premier, c’est bien le PUBLIC : « Le Théâtre du Capitole, c’est son public : fidèle, passionné, prompt à réagir comme à reconnaître un nouveau talent, un public exigeant et, sans aucun doute, curieux. » Mais, « le Théâtre du Capitole, c’est l’histoire de la Ville de Toulouse et de ses édiles qui, depuis le temps des Capitouls, ont à résoudre chaque année cette même et délicate équation qui consiste à porter à bout de bras, dans des temps parfois contraints, une institution ambitieuse inscrite dans les gènes de Toulouse. »
Un peu d’histoire : n’oublions pas que c’est Francine, gendre de Lully qui demanda la création d’un opéra à Toulouse. L’académie de musique fut créée en 1687 avec sa salle de représentations munie d’une machinerie qui occupa la Salle du Jeu de paume. Elle correspondait à ce qui, actuellement, est en grande partie la salle Utopia, Rue Montardy. Un des prédécesseurs de Frédéric Chambert était le sieur Viller, directeur de l’Académie Royale de musique d’opéra de Toulouse, qui n’avait pas tout à fait le même genre de souci comme en témoigne sa requête auprès du Parlement qui décréta à sa demande : « Défense à toute personne de siffler, de battre des mains et d’interrompre le silence pendant les représentations sous peine de 50 livres d’amende. »
Avant d’éplucher un peu le calendrier de toutes les manifestations qui nous attendent pour cette nouvelle saison 2016/17 et donc liées au Théâtre du Capitole, notons que la Maison subit, elle aussi, quelques restrictions budgétaires qui se caractérisent par un budget dépenses un peu plus étriqué. Et qui dit dépenses en moins, dit, pour l’instant, spectacles en moins. Ce qui s’est passé pour 15/16. Cependant, l’ensemble Opéras & Opérettes récupère une production supplémentaire pour cette nouvelle saison et retrouve les chiffres de 14/15. J’écrivais alors que la saison ne pouvait pas diminuer encore sous peine de mettre en difficultés des structures bien ancrées pourtant. De même pour les Ballets. Un certain nombre de productions, quelles qu’elles soient, sont indispensables pour conserver l’ensemble dans cette Maison qui nous est chère au cœur : équipes techniques, danseurs, choristes et différents ateliers.
Le Théâtre du Capitole, c’est aussi une fosse occupée par un orchestre magnifique qui, sous l’impulsion de chefs tels que Georges Prêtre, Michel Plasson et aujourd’hui Tugan Sokhiev, a toujours défendu et continue de défendre avec le même engagement les répertoires, lyrique, symphonique et chorégraphique. Grâce au travail actuel de leur Directeur, et en poursuivant ainsi le travail de ces prédécesseurs, l’orchestre de fosse du Capitole est bien l’un des meilleurs, reconnu tel que, hors les orchestres parisiens.
Mais, l’excellence se manifeste aussi côté chœurs. Les anciens sont bien obligés de constater que les interventions des chœurs sur le plateau il y a, disons, quelque temps, ont bien changé. Avec déjà Patrick-Marie Aubert, puis maintenant Alfonso Caiani, les masses chorales sont méconnaissables. Ces Chœurs se complètent d’une Maîtrise toute récente qui prend le même chemin. Il faudra tout faire pour conserver ces unités au Théâtre du Capitole. Son Directeur le dit : « Le Théâtre du Capitole c’est aussi une maîtrise et un chœur exceptionnels, désormais capables, sous la direction rigoureuse d’Alfonso Caiani, d’aborder Monteverdi et Rameau de façon aussi convaincante que Verdi et la création contemporaine. »
Quant à la danse, on dansait partout autrefois et en toute occasion : dans la rue, au cours des fêtes familiales, des mariages, dans les salons, danses variées animées par les ménétriers, on danse dans la haute comme dans la basse société. Des maîtres à danser toulousains bénéficieront de quelque réputation. Et, de façon plus récente, danseurs et danseuses du Capitole n’ont plus rien à voir, question performances, avec leurs camarades maintenant « quinqua », ou « sexa ». Tout évolue. « Le Théâtre du Capitole, c’est bien sûr un grand ballet classique ouvert aux évolutions de la danse académique, un ballet dont Kader Belarbi, qui ne se pare jamais de son titre d’étoile de l’Opéra de Paris que pour mieux enseigner à ses danseurs l’exigence à laquelle la danse aspire, a su renouveler l’ambition. » Là aussi, il faudra être très vigilant, et surveiller donc le devenir de cette unité que constitue le Ballet du Capitole de Toulouse et ses 35 danseurs.
On se plaît enfin à relever dans les quelques mots de son ex-Directeur, ceux qui s’adressent à tous les invisibles, si on peut les désigner ainsi, machinistes, ces “princes de la coulisse“ compris. « Derrière le rideau, le Théâtre du Capitole, ce sont des équipes artistiques, administratives et techniques sans pareilles qui ont en partage une même et haute idée de la mission tout à la fois humble et démesurée du théâtre : servir au mieux les œuvres pour les offrir au public le plus large. »
« Chaque opéra, chaque soirée de ballet, chaque concert du chœur porte toute l’ambition du Théâtre, chaque distribution, si patiemment élaborée avec mon complice, Arnold Alons, dit un impossible rêve, celui d’être, tout simplement, juste. »
Là aussi, vigilance nécessaire au maximum quant au devenir des différents Ateliers qui ont fait la réputation du Théâtre. Celui-ci reste bien l’un des derniers en France faisant travailler ce type de personnel aux compétences reconnues. Mais, on le sait : les saisons actuelles n’auront plus rien à voir avec celles que le Théâtre pouvaient afficher il y a plus d’un demi-siècle. Terminées les saisons comme celle de 48/49 qui, avec une Tétralogie complète, annonçait 40 opéras et 22 opérettes.
Les opérettes, c’est terminé. Même l’habituelle, la rescapée plutôt, pour les fêtes de fin d’année est passée à la trappe. Le public n’est plus tout à fait là. Les moyens pour se divertir ont beaucoup évolué. Et il n’y a plus de troupe à disposition rattachée au Théâtre.
« Dans la forêt touffue des œuvres, chaque saison, cherche à ouvrir des sentiers balisés par des chefs-d’œuvre autant qu’à signaler des chemins de traverse. » Ainsi s’exprimait Frédéric Chambert pour présenter les deux œuvres réunies pour l’ouverture de la saison précédente : Le Prisonnier de Dallapiccola et Le Château de Barbe-Bleue de Bartok. Il aurait pu tenir les mêmes propos pour cette ouverture avec Béatrice et Bénédict.
Bilan sommaire de l’ère Chambert
L’ère Chambert nous aura permis de découvrir un certain nombre d’ouvrages jamais donnés au Capitole, et c’est bien là un des points les plus positifs. On a tous en tête encore des productions comme Rienzi, Daphné, Les Deux Foscari, de Britten, Le Tour d’écrou et Owen Wingrave, et Albert Herring, Le Château de Barbe-Bleue et Le Prisonnier, Written on skin, le Medea de Pascal Dusapin et Sasha Waltz, Belshazzar. Il y eut de belles reprises comme Tristan et Isolde, Don Carlo, Madame Butterfly, Cosi fan tutte, Les Fiançailles au couvent, Elektra, Tannhäuser, Faust, de magnifiques Noces de Figaro et de nouvelles productions captivantes comme Le Trouvère, Tosca, La Favorite. Sans oublier des spectacles de danse comme Dans les pas de Noureeev, La Reine morte, Giselle, Coppelia, Stravinski et la danse, Le Corsaire, Pâques russes.
Saison prochaine
La saison à venir ne faillit pas à ces objectifs. On retrouve en ouverture de saison le 51ème Concours international de chant de Toulouse, de formule bisannuelle, toujours aussi prisé, et par le nombre de candidats, et par le public, même si on s’écharpe moins entre le jury et le public, et dans la salle !! Suivra un des opéras d’Hector Berlioz, Béatrice et Bénédict qui, lors de sa création au Théâtre, en 1991, suscita quelques querelles, déjà, sur les pouvoirs de la mise en scène par rapport à l’ouvrage. Celui-ci est une sorte de compromis entre l’opéra-comique et une pièce de théâtre dotée d’une musique de scène très élaborée. Rude tâche pour le metteur en scène Richard Brunel qui nous avait très favorablement surpris avec son Albert Herring.
Suivra une nouvelle production de l’opéra-bouffe de Rossini, Le Turc en Italie, mise en scène d’Emilio Sagi, déjà rencontré pour la Dona Francisquita, une façon de se rassurer car on est sûr que l’on sera aux antipodes de cette stupide mascarade de l’Italienne à Alger montée par Laura Scozzi, et présentée la saison dernière. Dans Narciso, on retrouve, succédant à l’impressionnant Laurence Brownlee, le tout aussi surprenant Yijie Shi, découvert dans La Favorite, venu remplacer Saimir Pirgu, resté un peu perplexe devant les aigus à donner. Ce jeune ténor chinois est d’une aisance étonnante. En Selim, nous aurons Pietro Spagnoli, le Mustafà de l’Italienne, qui n’aura pas à subir, ici, toutes les incongruités subies. J’allais oublier l’immense gloire dans ce répertoire que constitue Alessandro Corbelli qui interprète Don Geronio. Ce que l’on appelle communément une pointure !!
Il y aura du monde sur le plateau de l’opérette Candide de Leonard Bernstein, ouvrage faisant son entrée au Théâtre, sorte de Voltaire à Broadway, mis en scène par Francesca Zambello, nouvelle coproduction avec le Festival de Glimmerglass d’où vient la distribution et avec l’Opéra national de Bordeaux. C’est le moment de relire ses classiques et de se replonger dans le plus fulgurant, alors, succès de librairie de notre sulfureux philosophe.
Une saison sans Mozart ? Ce serait dommage. C’est une nouvelle coproduction – elles sont devenues incontournables maintenant – des opéras de Fribourg, Lausanne et Tours de L’Enlèvement au sérail. Il nous plaît de remarquer qu’elle sera dirigée par Tito Ceccherini dont la baguette s’est fait connaître dans Les Pigeons d’argile, mais aussi pour Le Château de Barbe-bleue et Le Prisonnier, des musiques du XXè et XXIè siècle, et pourquoi pas du Mozart. Les deux “belles“ ? l’une, Jane Archibald, nous a interpellés ici même dans la Reine de la nuit, l’autre Hila Fahima, 2eme grand prix femme en 2014 à Toulouse, a déjà chanté Gilda à Vienne. Quant à Osmin, c’est, il y a trois ans, le Peneïos de Daphné, Franz Josef Selig.
Suit en mars, Ernani de Verdi, un opéra qui semble n’avoir jamais été donné sur la scène “capitoline“, un des opéras de jeunesse du compositeur, créé en 1844, et dont le livret fut écrit par Verdi lui-même, s’appuyant sur son librettiste favori, le dénommé Piave. La réussite sera totale, le texte laissant de côté, délibérément, la subtile ironie de Victor Hugo, tout en exaspérant le romantisme de façon irrésistible. Seuls, les chanteurs, à la création, ne trouvèrent pas grâce aux yeux du natif de Bussetto. On espère qu’il en sera tout autrement pour cette création au Capitole. C’est un élément-phare de la saison. Pas de souci avec l’Elvira de Tamara Wilson, soprano qui nous a enchanté dans Le Trouvère, Albert Herring et surtout Les Deux Foscari. Ernani, c’est Alfred Kim, ténor inoxydable, Manrico superbe, Calaf de luxe dans Turandot malgré le dynamiteur Calixto Bieito. Quant à Don Carlo, c’est le Comte de Luna du Trouvère passé, Vitaliy Bilyy, baryton au timbre somptueux, aux nuances plus difficiles mais pour ce rôle, dans cet opéra, c’est du grand luxe. Quant au vieux Silva, grand luxe encore avec Michele Pertusi. En trio, il est une aria que certains sûrement connaissent, chanté par …Marylin Horne !! En contralto, elle prend la place de la basse Silva dans ce fameux concert Live at Lincoln Center de 1981. Et c’est un habitué de la fosse, Daniel Oren qui dirige. Les lyricophiles vont venir de loin, au vu de la distribution, et de la rareté de l’ouvrage sur scène. Six représentations pour les satisfaire. J’oubliais, Brigitte Jacques-Wajeman à la mise en scène. Personne n’a oublié son Don Juan ici même.
Une autre création pour suivre, mais contemporaine, L’Ombre de Venceslao, du musicien Martin Matalon, né en 1958, spectacle coproduit par neuf opéras français, une odyssée picaresque composée sur un livret et dans la réalisation scénique de Jorge Lavelli. C’est une sorte de nouvelle lecture du texte que l’auteur franco-argentin de pièces de théâtre contemporain si connu, Copi, écrivait en 1977, au lendemain du coup d’état du général Videla en Argentine. Ernest Martinez Izquierdo dirige une partition dans laquelle Matalon n’hésite pas à intégrer, éléments folkloriques, chansons argentines, bandonéon et tango. Ouvrage forcément à découvrir. Ce voyage aux confins de l’absurde, itinéraire sans issue mais ô combien truculent d’un Don Quichotte des temps modernes, ne peut vous échapper.
Retour du Lucia di Lammermoor de Donizetti, mis en scène par Nicolas Joel, avec la collaboration incontournable et si efficace des trois complices aux lumières, décors et costumes, j’ai nommé Vinicio Cheli, Ezio Frigerio et Franca Squarciapino. On peut juger de leur travail sur la photo au-dessus !! La création de cette coproduction avec le “met“ eut lieu au Capitole en octobre 1998, puis reprise en novembre 2004. Dans cet environnement esthétiquement très porteur, la Comtesse des Noces dernières, Nadine Koutcher relève le défi que Chambert lui a proposé, interpréter Lucia. Il lui faudra affronter l’implacable Enrico chanté par Vitaliy Bilyy que nous avons quitté dans Ernani, et sa propre fin tragique va pousser au désespoir son amoureux définitif, l’Edgardo de Sergey Romanovsky. A la baguette, Maurizio Benini connaît son affaire, et la fosse. Dans Normanno, on note avec grand plaisir Luca Lombardo, si mal traité en empereur Altoum dans ce Turandot de sinistre mémoire. Alisa sera chanté par le 1er prix femme du concours de chant de Toulouse 2014, Marion Lebègue.
Fin de saison avec un opéra qui n’a pas revu la scène du Capitole depuis 80 ans, Le Prophète de Giacomo Meyerbeer. Ouvrage créé en 1849, classé dans la catégorie des grands opéras français, il reprend donc un sujet grandiose, avec des décors somptueux, si possible ! une débauche d’effets et de costumes. Il côtoie alors d’autres ouvrages de cette trempe, le seul de Rossini, Guillaume Tell, le seul d’Auber, La Muette de Portici, mais les trois autres du même compositeur, Les Huguenots, Robert le Diable et L’Africaine. Coïncidence cette saison, Voltaire est à nouveau présent puisque c’est chez lui, que Meyerbeer va puiser un autre sujet digne de son génie, s’inspirant des aventures du jeune religieux charismatique, y trouvant un enseignement éternel : le peuple doit se méfier des libérateurs du genre humain.
A la direction musicale, Claus Peter Flor aime les défis. Il affronte la partition de cet opéra en cinq actes. La mise en scène est aussi un défi. Souhaitons à Stefano Vizioli la même réussite que pour sa mise en scène des Deux Foscari. Pour Jean de Leyde, place au ténor, et quel ténor pour affronter un tel rôle. Il est loin le temps du Nemorino de John Osborn sur cette scène en 2001. Depuis, ce ténor n’a pas chômé et fait partie de ceux que Cecilia Bartoli demande très souvent à ses côtés. Il est bien tout à fait en haut de l’affiche. Dans Fides, c’est une ni soprano, ni mezzo, une falcon comme on dit, valeur plus que montante au firmament des plateaux, Ekaterina Gubenova. Elle fut Judith à Paris, mais aussi Fricka, et Eboli, ici, mais plus récemment avec Gergiev. Là aussi, à ne pas rater !! Un produit donc rare, et qui devrait être de grande qualité.
Voilà pour ce tour d’horizon des huit ouvrages qui vous attendent et que vous attendez avec beaucoup d’impatience. C’est mon petit doigt qui me le souffle, mais à ce qu’il paraît, le Théâtre devrait faire le plein régulièrement. Pareil pour les cinq spectacles de ballets, la troupe du Capitole ayant une aura de plus en plus internationale. Ceux qui boudent encore sont sûrement ceux qui ne se déplacent pas, ou qui préfèrent ce que j’appelle des spectacles pour gymnastes fatigués ou même pour handicapés. Le Corsaire, on connaît, mais on y retourne, car trop bien fait, et puis la troupe évolue et de nouveaux danseurs et danseuses sont là. Pareil pour le Don Quichotte. Les deux cités sont chorégraphiés par le Directeur Kader Belarbi. Une autre série, mais en partenariat avec le Théâtre Garonne, dans laquelle on remarque le Groosland de Maguy Marin, indémodable, une autre de ses créations, Eden, et Salle des pas perdus, une création parisienne signé Kader Belarbi sur une musique de Serge Prokofiev. Il faudra attendre début juillet pour admirer à nouveau la chorégraphie de Fokine dans le ballet intitulé Chopiniana, et une entrée au répertoire du ballet MC 14 / 22 d’Angelin Preljocaj.
Deux soirées en plus pour les Chœurs dirigés par leur Directeur, les Concerts de Noël et un Requiem de Mozart, sans oublier, au Théâtre Jules-Julien, un opéra pour enfants en deux actes, Brundibar du compositeur contemporain Hans Krasa.
On n’oublie pas les Midis du Capitole, ces récitals pour futures têtes d’affiche, et toutes les manifestations qui entourent toutes les productions, les Journées d’étude comme les Rencontres-débats, les visites,…
Michel Grialou
photos
Jean-Jacques Groleau / Théâtre du Capitole / Frédéric Chambert / Alfonso Caiani / Lucia di Lammermoor © Patrice Nin
Tugan Sokhiev © Marco Borggreve
Kader Belarbi © David Herrero
Béatrice et Bénédict © Bernd Uhlig
Le Turc en Italie © Patricio Melo
Candide © Karli Cadel
Le Corsaire © Francette Levieux
Claus Peter Flor © Peter Rigaud