En ces derniers jours de janvier, dix vœux gastronomiques pour l’année 2016…
Que les « légumes oubliés » (rutabaga, topinambour, etc.) se fassent vraiment oublier sur les cartes des restaurants.
Que les boucheries et les pâtisseries branchées cessent de ressembler à des bijouteries ou des galeries d’art.
Que cesse la mode bovine du « C’est moi qui ai la plus longue… maturation ».
Que le hot-dog revienne à la mode.
Essayer de rater le moins souvent possible la formule déjeuner / brunch de La Pente douce chaque premier dimanche du mois.
Aller plus souvent à L’Avant-Marius.
Goûter à nouveau le Parmentier d’huitre de Laurence Lagarde au Tire-Bouchon.
Convaincre Éric Cuestas du Temps des Vendanges de sacrifier son coin fromages au profit d’un zinc où l’on pourrait boire ses vins.
Penser à acheter les prochains numéros du magazine Jésus.
Essayer de ne plus répondre « Oui, à l’addition » à la sempiternelle question accompagnant les menus uniques des restaurants : « Vous avez des allergies ? »