Avec un peu de retard, mais il n’est jamais trop tard pour des vœux de table toulousains…
Que les restaurants fassent un effort sur leurs cartes des vins, trop classiques, interchangeables, qui donnent envie de boire de l’eau.
Que Simon Carlier de Solides confirme tout son talent en reprenant La Rôtisserie des Carmes où nous passâmes de si beaux moments.
Que cessent de se présenter comme « bar à vins » des endroits proposant une quinzaine de bouteilles, par ailleurs imbuvables.
Que des restaurants et cavistes, dédiés aux vins vivants et non-dénaturés, continuent d’ouvrir.
Que le Parmentier d’huitres et le chou farci fassent leur retour le samedi midi au Tire Bouchon.
Convaincre Rodolphe Lafarge d’exercer plus souvent qu’une fois l’an ses talents culinaires auprès de chefs.
Persuader Franck Bayard d’ouvrir en notre compagnie sa dernière quille d’Eric Callcut.
Vingt ans après, reprendre la file d’attente de L’Entrecôte afin de vérifier si le goût de la sauce a changé.
Penser à aller plus souvent au Casanou, au Comptoir du vin et à L’Air de famille.
Dîner à En Pleine Nature avant que Sylvain Joffre décroche une étoile au guide des pneus.
Trouver enfin quoi répondre au traditionnel « Ça vous a plu ? » quand cela n’a pas plu.
Comprendre pourquoi le café passe de deux à trois euros au Florida après 12 heures.
Solides / Le Tire Bouchon / Rod n’Roll / Vinnouveau / L’entrecôte / Casanou / L’air de Famille /En pleine nature