A l’occasion de la venue de Cédric Klapisch ce jeudi sur Toulouse, Culture 31 en partenariat avec le Cinéma Gaumont Wilson vous fait gagner des places pour assister à l’avant-première de son dernier film « Ce qui nous lie » OU des places pour assister à la projection à la Cinémathèque de Toulouse de « Stardust Memories » de Woody Allen, dont Cédric Klapisch fera la présentation.
Jeudi 4 MAI, à 20h00 au Cinéma GAUMONT WILSON : venez rencontrer le réalisateur Cédric Klapisch à l’occasion de l’avant-première de son film «Ce qui nous lie».
Jean a quitté sa famille et sa Bourgogne natale il y a dix ans pour faire le tour du monde. En apprenant la mort imminente de son père, il revient dans la terre de son enfance. Il retrouve sa sœur, Juliette, et son frère, Jérémie. Leur père meurt juste avant le début des vendanges. En l’espace d’un an, au rythme des saisons qui s’enchaînent, ces 3 jeunes adultes vont retrouver ou réinventer leur fraternité, s’épanouissant et mûrissant en même temps que le vin qu’ils fabriquent.
Pour gagner des invitations, envoyez un mail au plus tard avant mercredi 3 mai 17h, intitulé «Concours CE QUI NOUS LIE», en précisant vos NOM et PRÉNOM, le nombre de places que vous souhaitez (une ou deux), et la réponse à la question suivante «Quelle est la date de sortie du film ?», à l’adresse mail : carine_trenteun@yahoo.fr.
Une chance de plus d’être tiré au sort si vous partagez ce post en public sur votre mur facebook, une chance supplémentaire si vous aimez la page facebook du Cinéma Gaumont Wilson, et encore une de plus si vous aimez celle de Culture 31. N’oubliez pas alors d’indiquer vos pseudos facebook dans le mail. Les gagnants seront prévenus par mail mercredi en fin de journée.
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Jeudi 4 MAI, à 21h00 à la Cinémathèque de Toulouse : venez assister à la projection en 35 mm VOSTF de «Stardust Memories» de mister Woody Allen, où le réalisateur Cédric Klapisch fera la présentation. Ce film fait partie de sa sélection sur la Cinetek, la Cinémathèque des réalisateurs.
Sandy Bates, cinéaste, traverse une crise existentielle. Il ne supporte plus les exigences de ses admiratrices, ni les questions de l’intelligentsia new-yorkaise. Son déplacement à un festival consacré à son oeuvre lui permet de faire un point sur son travail et sa vie. Woody Allen fait son « Huit et demi ».