Tugan Sokhiev a rendu notre orchestre brahmsien. Toutes les subtilités de cet orchestre qui doit sonner large, sans être lourd, puissant sans écraser le son et surtout doit être capable de grandes nuances ont été des qualités retrouvées ce soir. Le soliste Vadim Gluzmann, excellent violoniste, acclamé dans le monde entier a semblé particulièrement apprécier cette interprétation enflammée. Il est même venu écouter en deuxième partie, la rare transcription par Schoenberg du Quatuor avec piano du jeune Brahms.
Une très grande soirée vraiment!
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Hubert Stoecklin