Une représentation qui ne pouvait que déclencher, à juste titre, l’enthousiasme de la salle.
Mais continuons le parallèle avec l’actualité rugbystique. Il en est d’une production d’un opéra comme d’une Coupe de rugby. Vous prenez la même équipe et les matches peuvent se suivre et ne pas du tout se ressembler. Le meilleur comme le moins bon peuvent être au rendez-vous, sans prévenir. C’est pareil pour les représentations. La dernière de Tosca, ce fut un peu comme l’équipe de France devant l’Angleterre, une magnifique “performance“ avec un deuxième acte dans lequel Catherine Naglestad rejoignait de par son chant et son investissement d’illustres consoeurs, des, Kabaïvanska, ou Evans ou Rysanek, aidée en cela par un Scarpia au meilleur de sa forme. Le mercredi 5 octobre, c’était davantage, un France-Pays de Galles, une représentation ….., qui n’a pas particulièrement satisfait son public. Dommage pour les présents. Mais c’est vrai que l’on ne peut les faire toutes !
Michel Grialou