Il y a quelques mois, nous vous annoncions le nouveau format des soirées Curiosités du Bikini : « Les Sessions Curio ». Après une première édition de cet évènement découverte le 16 février dernier, une nouvelle date est d’ores et déjà prévue. En effet, le 24 mars prochain, Les Curiosités s’associeront au média féministe et festival Girls Don’t Cry pour faire découvrir l’univers de différentes artistes avec un grand E.
Les Sessions Curio repartent pour un tour ! Une deuxième édition aura lieu le 24 mars 2023 de 23h55 à 5h30. Déjà revue dans son format et dans son nom il y a quelques mois, la soirée découverte des Curiosités à venir sera une fois encore placée sous le signe de la nouveauté. « Toujours avec cette ambition de faire découvrir différent.e.s artistes et leurs univers, cette deuxième édition se distinguera de la première notamment grâce à son format club et son partenariat avec Girls Don’t Cry », expliquent en effet les organisateurs.
Un partenariat avec des valeurs pour socle
Girls Don’t Cry, c’est un média féministe et culturel ainsi qu’un festival, tous deux portés par l’association La Petite Toulouse. Son objectif : donner de la visibilité aux femmes artistes et bousculer les normes. Placée sous ce prisme, la Session Curio à venir présentera donc des femmes dont le talent mérite plus de lumière. « Amis de longue date, renouveler notre collaboration avec La Petite sur les Sessions Curio nous semblait plus qu’évident. Leurs valeurs et engagements sont les nôtres et nous sommes ravis de les faire rayonner ensemble », affirme également l’organisation des Curiosités.
Des artistes qui cassent les codes
En premier lieu, le public pourra découvrir la Lucky Luke des platines : Sherelle. L’artiste Londonienne mixe en effet plus vite que son ombre. GiGi FM aussi s’illustre dans la musique électronique. Sa force est son approche immersive et sensorielle de la scène et de la musique. Olympe 4000 viendra ensuite casser les codes avec une fusion entre les styles techno, trance, et bass music. Enfin, #130E0A dépassera à son tour les frontières des genres musicaux. La Toulousaine construit son art autour des mouvements du bassin et de la permanence spirituelle pour faire vibrer le public. Pour citer Bowie, « Let’s Dance » !