Les concerts Candlelight sont des moments magiques. Mercredi 18 janvier, le pianiste Éric Artz offrira aux fans d’animés l’occasion de redécouvrir l’univers musical de leurs séries et films japonais préférés dans une atmosphère à part, au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Toulouse. Le lieu sera alors éclairé à la bougie, méconnaissable.
Une parenthèse musicale féerique dans l’univers des animés. Voici ce que proposent les concerts Candlelight du mercredi 18 janvier 2022. Une première session aura lieu à 19h30, et une deuxième à 21h30. Le tout dans le cadre de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Toulouse, dont la luminosité sera transformée pour l’occasion. En effet, le propre de ces évènements est un éclairage à la bougie. De quoi créer une ambiance plus intime, empreinte de magie. Le pianiste concertiste français Éric Artz fera quant à lui danser les notes au piano.
De « Princesse Mononoke » à « Naruto »
Au programme, des œuvres de Joe Hisaishi pour Miyazaki, avec les films Ghibli « Le Voyage de Chihiro », « Princesse Mononoke » et « Le Château Ambulant ». Des films d’animation au succès critique et commercial, portés par la touche Miyazaki à l’image ainsi que le talent musical du compositeur Joe Hisaishi. Dans un tout autre style, les chansons « Silhouette » de KANA-BOON et « Blue Bird » de Per Fredrik Åsly, que l’on retrouve dans la série animée Naruto, seront également interprétées. Les non moins connues séries de manga « One Piece » et « Tokyo Ghoul » auront aussi droit à leur part du spectacle, à l’image de nombreux autres animés japonais.
Les animés japonais traversent les générations
Le petit écran a ouvert la voie aux œuvres animées du pays du soleil levant en France il y a déjà quelques décennies avec Goldorak, Albator, ou encore Candy. Les écoliers des années 70 et 80 regardaient donc déjà les animés japonais avant le boom culturel et l’effet de mode actuels. Les concerts du 18 janvier prochain pourront donc se faire en famille, entre nostalgie et engouement d’aujourd’hui. Et même si « l‘inconstance des sentiments est la seule chose stable en ce monde » comme le dit le prince dans « Le Château Ambulant », le goût des animés semble lui aussi bien installé, stable, dans l’Hexagone.