La Ville rose est le théâtre d’un été précoce faisant rougir nos joues et quasiment les briques. Les Toulousains flânent plus qu’ils ne marchent, à la recherche d’ombre ou d’un simple courant d’air. Dans ces rues chauffées à blanc, chaque façade devient le décor d’un Toulouse au ralenti, à qui le printemps semble déjà échapper. Une atmosphère humblement capturée à travers quelques clichés.

On se fait la brise ?